Juil 30
Etty Hillesum

Une vie bouleversée : un livre pour l’été

Etty Hillesum a 27 ans quand sa plume alerte, spontanée, tendre mais sans concession, rédige le journal de bord d’une vie bouleversée, entre les années 1941-1943, aux Pays-Bas. Elle pourrait presque être la sœur aînée d’Anne Frank que l’on connaît bien, et l’amie privilégiée de la grande Édith Stein malgré les différences qui les séparent. Un même destin en effet les unit, un même souffle spirituel les anime. Juives toutes trois, elles ont été emportées dans les turbulences de l’Allemagne nazie ; toutes trois douées pour l’écriture elles nous ont laissé – philosophie, psychologie ou littérature authentique – de très beaux textes sur l’existence, capables de nourrir l’intelligence sans restriction ; même au cœur de l’été quand la réflexion est en vacances !

Une vie bouleversée, un livre pour l’été, présentation par Annick Rousseau

Juil 2

Roc Estello

 

ROC-ESTELLO signifie en provençal : Christ – ROCHER, sur lequel se bâtissent nos vies, Marie – ETOILE, qui en dirige le chemin sur l’océan du monde. Au cœur de la Provence verte, dans le triangle Marseille-Toulon-Aix-en-Provence, Roc-Estello vous accueille : un vaste domaine de 3 hectares, à 720m d’altitude, en lisière de forêt, face au massif et à la Grotte de la Sainte-Baume, haut-lieu sacré provençal. Découvrez le programme de vos vacances d’été, 5 sessions en août et septembre. (Annick Rousseau)

5 sessions août 2014

  1. Évangile en Provence (1 au 7 août)
    • « Evangile selon saint Jean (13-21), une école d’Amour »
      par le père Pierre Dumoulin, bibliste
  2. Assomption – Retraite mariale (11 au 16 août)
    • Découvrir en Marie le « Premier Tabernacle » de la Présence réelle.
      Animée par le père Jean-Marie Donadei.
  3. L’Évangile de la joie en chemin avec M Zundel (20 au 24 août)
  4. Université d’été – Le facteur temps (26 au 31 août)
  5. De Teilhard à Etty, le féminin en débat (4 au 7 septembre)

Renseignements et inscriptions

« Roc-Estello » – Cap de Provence
Allée de Béthanie
83640 LE PLAN D’AUPS – Ste BAUME (VAR)
Tel : 04 42 04 50 09 – Fax : 04 42 04 52 65
Mail : rocestello@wanadoo.fr site : www.rocestello.fr

Roc Estello

Mai 27

Hildegarde de Bingen - Dieu communique  le souffle de vie à l'embryon

Comment fais tu, Seigneur, à pas d’ombre, sans bruit
Pour aspirer en Toi, l’âme créée par Toi, façonnée par tes mains ?
Le souffle qui fait vivre disparaît en spirale, en ton Souffle d´Esprit.
Et tu laisses en sommeil le corps façonné de tes mains. Claire,
Tu l’as voulue ainsi, petite, gaie, tressaillante, sombre à ses heures,
Innocente, pas tout à fait, Émerentienne, servante comme Marie,
Servie, aimée, entourée,comme Agnès, l’agneau d’un invisible tabernacle.
Le souffle n’en finit pas de respirer, dans l’invisible lieu où continue l’attente
Imprévisible de Sa venue, inattendue, comme tout acte divin
qui dit son nom à peine, à peine, à qui veut bien l’entendre !
Que feras-tu, Seigneur, pour aspirer en Toi notre souffle d’esprit ?

À Claire Émerentienne. 26 mai 2014
Annick

Fév 16

On a déjà beaucoup écrit sur ce nouvel ouvrage du Père Zanotti-Sorkine, paru en janvier 2014, aux éditions Robert Laffont sous le beau titre : « Le Passeur de Dieu ». Les critiques sont très favorables et s’accordent pour éviter, dans leurs colonnes, les questions qui fâchent, les réticences qui en diminueraient la portée. Du genre : « Est-ce aux prêtres d’écrire un roman ? Pourquoi ? N’ont-ils pas autre chose à faire dans l’Église que d’écrire ou de chanter (cf. « Les Prêtres » ) ce que d’autres font très bien ? Pas un mot non plus sur le style du livre, sur cette familiarité un peu recherchée, un peu désuète avec le passé antérieur ou l’imparfait du subjonctif… que l’on eût appréciée hier à sa juste valeur.

Après tout, Dieu peut bien passer à travers toutes les formes grammaticales. Ce qui a été, à juste titre, retenu et reconnu, c’est le souffle puissant et rapide qui traverse l’ensemble des dialogues du livre ; une flamme qui éclaire et avive questions, passions, sentiments, découvertes, sans les brûler, mais en les gravant plutôt au cœur même des êtres. Xavier, le jeune journaliste, « passeur d’idées » mais désemparé devant les difficultés de la vie ; le « club » des ermites, une association un peu particulière dont la sagesse tendre mais austère fait penser aux sentences des Pères du désert. Aussi affirmatifs dans leurs convictions humaines et spirituelles, moins énigmatiques sans doute.

Sans rien trahir du contenu d’un livre à méditer, on peut ici, je crois, admettre que le personnage central, d’abord absent, puis dévoilé en ses multiples facettes est l’Amour lui-même, malgré ses contrefaçons, annoncées ou dénoncées par les plus belles pages de l’Évangile. Nous en saisissons toute l’ampleur grâce à l’écho des paroles d’écrivains, souvent poètes, que l’auteur aime à évoquer.

Il serait tentant de recueillir au fil des chapitres un passage particulièrement incisif, une citation parmi d’autres que l’on aimerait retenir. Pour ma part, ce qui m’a touchée dans « Le Passeur de Dieu« , c’est l’intention décidée, exprimée de multiples manières, qui anime le « Curé de la Canebière », sa logique d’artiste-prêtre. Il chante sur un CD inclassable « Une idée folle » : le projet qu’il a de rencontrer indistinctement ceux qui croient au ciel et ceux qui n’y croient pas. Les uns se pressent pour écouter ses homélies sous la voûte désormais illuminée de l’église Saint-Vincent-de-Paul. Pour les autres il peut déposer en librairie, ou en kiosque numérique, à tous vents, une écriture plus vaste que la parole. Ce roman ? Non pas un réservoir de vérités toutes faites à reconnaître, mais des mots authentiques, aussi libres que les semences d’ Évangile jetées à la volée !

Annick Rousseau

Jan 30

« Découvrir son humanité avec sainte Hildegarde »
Mercredi 30 avril (17h00) au Dimanche 4 mai 2014 (14h)
Abbaye Sainte Lioba -13109 Simiane Collongue

Le Père Pierre Dumoulin, spécialiste de Ste Hildegarde est bien connu des amis de cette Sainte. Il a publié en 2012 « Ste Hildegarde, prophète et docteur de l’Église » (Ed. Béatitudes), un ouvrage de référence traduit dans diverses langues. Il enseigne à l’Institut des Sciences et Théologie des Religions (Marseille) et au Séminaire d’Aix-en-Provence.

Frères et soeurs bénédictins de Ste Lioba à Simiane-Collongue

Les deux monastères bénédictins de Ste Lioba (masculin et féminin) sont situés au pied du massif de l’Étoile dominé par le Pilon du Roy, dans l’arrière-pays de Marseille (Provence –13). Fidèles à l’esprit de Saint Benoît, des consacrés y vivent dans la prière, le travail et la communion fraternelle. Ils vous invitent pendant quelques jours à participer à leur vie. Ste Hildegarde docteur de l’Église, abbesse bénédictine vous servira de guide pour mieux entrer dans la vie spirituelle. Le monastère vit du travail des moines et moniales, en particulier la confection de vêtements liturgiques tissés à la main et parfois en technique batik. Vous aurez l’occasion durant votre séjour d’apprécier ce travail et visiter exceptionnellement les ateliers.

Programme, horaires, inscriptions, tarifs

Déc 14

Les racines juives du christianisme. (Simple récit de voyage.)

JérusalemLa nuit est tombée depuis longtemps sur Jérusalem. Les lumières clinquantes des tours et des clochers se réfractent en éclats orangés à travers le vitrail cintré du monastère qui nous accueille au Mont des Oliviers. Chez les sœurs Brigittines la soirée a été longue, riche en discussions partagées entre notre groupe et les deux rabbins qui écoutent nos propos sans se lasser d’y répondre.

Notre groupe ? Une trentaine de personnes venues de différents pays d’Europe ; une majorité de catholiques, sous la houlette de deux prêtres catholiques, issus du judaïsme ; enseignés par des rabbins de Jérusalem, des professeurs de l’Institut Albert Decourtray ; des « juifs messianiques » aussi, peu connus de nos milieux d’appartenance. Le voyage, du 19 au 27 mai 2013, a été pensé et organisé par la Communauté de l’Emmanuel, mais ouvert à tous.

Quelqu’un de chez nous lance alors l’ultime question, jamais posée de front en dix jours de rencontres amicales :

Jérusalem le mur des Lamentations

« Et vous, que pensez-vous du Messie ? »

– Réponse du plus jeune des rabbins (l’interrogation ne fait pas tomber sa kippa d’étonnement ; il est habitué aux demandes récurrentes des chrétiens !) : « Vous, vous croyez que le Messie est déjà venu, et vous attendez qu’il revienne une seconde fois. Nous, nous l’attendons, et à la fin des temps nous verrons bien qui a raison et si c’est bien le même. » Tout le monde sourit. La différence, apparemment absolue qui nous sépare du peuple juif, en cette soirée du moins, n’aura pas altéré les bonnes relations que les deux protagonistes ont toujours voulu préserver.

D’un pèlerinage à l’autre.

Jérusalem le tombeau du ChristTout chrétien a le désir d’effectuer, un jour ou l’autre, un pèlerinage en Terre Sainte : mettre ses pas dans les pas des Hébreux au désert, contempler le lever du soleil tout en haut du Sinaï, voir de ses yeux surtout la terre que Jésus a choisi d’habiter : Bethléem, Nazareth, Jéricho… tous les lieux de son enseignement, familiers à nos oreilles ; la liturgie les égrène chaque jour. Et Jérusalem, là-haut, où le Maître et Seigneur a connu la mort et l’incroyable résurrection qui laisse à jamais le tombeau vide au Golgotha.

Le profil général de notre voyage en Israël ne correspond pas à ce pèlerinage classique fréquenté par des dizaines de groupes de tous pays surgissant des dizaines de cars qui font une ceinture jusque devant les portes de Jérusalem. Le but de notre périple consiste à nous fondre dans l’actuel peuple d’Israël, foulant son sol tant de fois déchiré, pour découvrir sa culture séculaire, son trésor religieux, son identité.

Il ne s’agit pas, bien sûr, d’une recherche totalement dénuée de présupposés. Car durant de longs siècles, quand Dieu faisait et refaisait alliance avec les patriarches, choisissait un peuple qui lui appartienne, gardien de la Loi et de la Promesse, Il tissait en prophéties partiellement voilées le visage à venir de son fils que les chrétiens ont reconnu, très tôt, comme le Messie, le Sauveur, pivot de l’Histoire universelle.

Mais partir auprès de religieux juifs pour écouter leur propre interprétation des Écritures, se plonger attentivement dans l’exégèse millénaire de leurs traditions écrites ou orales, c’est une démarche plus authentique, plus décapante aussi. La Parole de Dieu a retenti une fois pour toutes, commentée à l’infini par la compréhension humaine. Elle est l’en-deçà vivant, le Lieu de notre foi. Préférer pour un temps le son du shofar aux carillons de nos églises, ce n’est pas faire l’amalgame de la religion de nos « frères aînés dans la foi » et de la nôtre ; c’est bien, parfois, marcher dans le désert qui nous blesse, pour accéder à cette vérité sans évidence pour beaucoup que Jésus est le Messie attendu, juif rattaché de mille façons à sa race et à son peuple. On l’a dit et redit ; d’autres approches peuvent bien nous enseigner à le comprendre justement.

Visiter, écouter, travailler.

Entre rencontres et enseignements (trois heures par jour), place pour de belles visites archéologiques sous un ciel de printemps auprès du lac de Tibériade pour commencer : synagogues primitives à mosaïque ; nécropoles troglodytiques, tombeaux des sages, tel celui très fréquenté le Maïmonide, une des grandes figures du Moyen Âge savant. En face, le Golan, la Jordanie. Devant, la « Mer de Galilée », témoin pour nous de tant d’appels, de miracles de Jésus. Il nous faut parfois un grand exercice mental pour éviter de ramener l’identité de notre foi à l’altérité tangible où elle a pris corps. Mais les ruines ne sont que des témoins muets.

Nécropole antique | Nécropole antique | Moïse Maïmonide
Nécropole antique – Synagogue à mosaïque – Moïse Maïmonide

Ce sont les enseignements, de vrais cours pour adultes qui ont le plus contribué à nous transmettre d’incontournables thèmes essentiels, sur lesquels il faudra revenir : l’élection d’Israël.

Qu’en est-il de son sens, depuis la structuration de l’Église autour du Christ ? L’exégèse des rabbins : que nous apprend-t-elle des textes saints ? La prière des juifs : que nous dit-elle ? Et ce Nom, tétragramme imprononçable, YHVH, est-ce celui de notre Dieu, révélé à d’autres, comme le sceau de sa présence… en notre absence ?

Milieu de pèlerinage : lettre de Tibériade.

Les bougainvillées et le lacChaque jour le lever de soleil est magnifique, de l’or illuminant peu à peu les palmes immobiles qui se reflètent dans la profondeur de l’eau…

Bientôt, les cours de l’après-midi vont reprendre. Je songe… Habituée du désert, je me remémore l’accompagnement du peuple hébreu, conduit par la Nuée. C’est Dieu qui marche au pas de l’homme, le nourrissant, l’éduquant… Et Jésus, la multiplication des pains ?

Malgré tout, un peu familière des manières d’agir et d’être de Dieu, en intuition seulement, je perçois la donation singulière de son Nom,de son Être, à Moïse… Et le secret qui longtemps entoura Jésus au sujet de son identité. « Qui dites-vous que je suis ? » Un dieu qui se dévoile, tout en restant caché. La même tactique pour éveiller un cœur d’homme !

Et puis sous l’arbre de bougainvillées, se glisse en moi une certitude paisible qui ne me quittera pas, quels que soient nos différends, nos mutuelles incompréhensions, d’Israël à nous. Le Deutéronome et le Lévitique me le répètent : Dieu ne nous donne commandement absolu de l’aimer, que dans la mesure où il est lui-même l’amour. « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, ton âme, et de tout ton esprit ». Et comme il s’agit d’une loi de vie, et non d’un simple sentiment éthéré, une piété creuse, il s’agira d’aimer « son prochain comme soi-même ». Là se trouve le fondement, les racines vivaces de la nouvelle alliance, de ce commandement nouveau que le Christ, L’Oint du Seigneur, accomplit, et renouvelle en sa chair, par la croix. (Jean.ev. chapitre 13, 35 36) « aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés ». Aimer ceux qui nous haïssent, faire de l’autre un frère plutôt qu’un simple ami. Ces paroles ne peuvent être que de Dieu, du même Dieu. Elles nous rendent plus présent son mystère.

Une légère brume voile le lac. Les pales du grand ventilateur se sont mises à tourner plus vite. D’enseignement en enseignement nous continuons à scruter les versets de la Bible, à mettre au grand jour le passé toujours présent dans la formulation de notre religion, mais en cet instant, l’Amour divin m´est donné comme bagage pour les jours qui suivent. Un trait de feu sans scorie, buisson ardent qui illumine, au fil du temps, l’un et l’autre testament.

Annick Rousseau – photos B. Rousseau

Oct 9
Une minute avec Marie
icon1 dd | icon2 Prière | icon4 9.10.2013| icon3Aucun Commentaire » | 530 vues


Cliquer ici pour lire le texte de Charles Péguy

Sep 4

Un docteur de l’Église nous est donné, au moment même où les chrétiens retrouvent la force et l’actualité du Concile Vatican II. La foi et la sainteté transcendent donc le temps de l’histoire. Un demi siècle nous sépare du Concile, huit siècles de cette femme, tirée de l’ombre tout récemment, et qui, au premier regard dépasse nos attentes, en ouvrant à notre curiosité de multiples horizons.

Hildegarde, que savions nous d’elle ? De vagues conseils de médecine, des régimes très en retard sur notre alimentation sophistiquée ; à base de fenouil, de tisanes, de pyrèthre, et d’épeautre. Bien sûr, elle a ses adeptes, comme aussi ces musiciens raffinés qui nous replongent dans des tonalités et dissonances exigeant une oreille musicale exercée.

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Juil 25

Vierge de la nouvelle église de VenellesDébut juillet 2013, une grande statue de Marie prend place auprès des anges devenus familiers. Toute blanche, classique vue de loin, elle mérite un regard interrogateur : Marie présente l’Enfant Jésus qui tient dans ses mains un calice, non pas le monde en réduction, ou les saintes écritures, comme cela est traditionnel. L’origine de cette statue, venue de la Chartreuse Notre Dame (à Reillanne, près de Banon) nous est donnée par ce document fiable, écrit par l’une des religieuses de l’abbaye. Voici l’essentiel de sa réponse à nos interrogations.

Mère Prieure me demande de répondre à votre lettre du 28 juin :

La statue de Marie sur laquelle vous nous interrogez est vénérée en Chartreuse sous le nom de Notre Dame du Précieux Sang.

Vierge de la nouvelle église de VenellesLes Chartreux, plus au siècle dernier qu’actuellement, ont vénéré le Précieux Sang, sans pourtant l’introduire dans leur liturgie, à la différence de la liturgie universelle qui avait institué une fête le 1er juillet (supprimée à la suite du Concile Vatican II). C’était une dévotion largement répandue, comme le Saint Nom de Jésus, les Cinq Plaies, le Sacré Cœur. Et la statue dont vous avez une copie a été conçue par un membre de l’Ordre et réalisée par un artiste (non Chartreux je crois). Elle a été bien accueillie dans l’ensemble des Maisons de l’Ordre. On a voulu, je pense, signifier que le sang de Jésus versé sur la croix et actualisé en chaque eucharistie est le sang qu’il a reçu uniquement de la Vierge Marie. Elle est représentée comme une très jeune fille aux lignes pures et transparentes. Aussi Marie est la Mère, elle donne son enfant et son sang (sa vie) inconditionnellement. Elle se donne elle-même, elle est notre Mère.

Vierge de la nouvelle église de Venelles

Parmi les multiples vocables adressés à la Vierge Marie (voir par exemple l’Hymne acathiste des Orthodoxes), on peut conserver cette finale, pour la Vierge de la nouvelle église « Elle se donne Elle-Même, elle est notre Mère ».

Annick Rousseau

Mai 11

Cœur et chair mis à nu : une spiritualité pour notre temps ?
Un livre de Sylvie Germain

Impressions de lecture par Annick Rousseau

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